L’obscure clarté de la société numérique
Byung-Chul Han s’en prend, dans ce pamphlet, à la dimension autoritaire de l’idéologie de la transparence communément associée à Internet.
Matteo Treleani est sémiologue, maître de conférences à l'Université de Lille. Il a été chercheur à l'Ina de 2009 à 2012, post doctorant à l'Université du Luxembourg et a enseigné à Paris Est, Paris 3 et Sciences Po.
Il est l'auteur de Qu'est-ce que le patrimoine numérique? (Le Bord de l'Eau, 2017) et Mémoires audiovisuelles (Presses de l'Université de Montréal, 2014). Il a codirigé pliusieurs ouvrages et dossiers de revue dont L'ontologie du numérique pour Sens Public avec Servanne Monjour et Marcello Vitali Rosati èhttp://www.sens-public.org/article1282.html, 2017) et Vers un nouvel archiviste numérique (L'Harmattan/Ina Editions, 2013).
Publications dans la Revue des médias
Byung-Chul Han s’en prend, dans ce pamphlet, à la dimension autoritaire de l’idéologie de la transparence communément associée à Internet.
Evgeny Morozov poursuit sa réflexion critique sur le numérique et ses enjeux politiques.
Une théorie critique des médias numériques est-elle concevable aujourd'hui ? Alexander R. Galloway se propose d'analyser les effets politiques des interfaces technologiques. Pour des media studies engagées.
Evgeny Morozov engage une lutte militante contre le techno-enthousiasme autour des nouvelles technologies. Il y aurait, selon lui, une idéologie sous-jacente à la plupart des pratiques et discours sur le numérique, qu'il faut révéler et critiquer.
Philosophie, technique et politique : l'ouvrage de Marcello Vitali Rosati explore les multiples significations du terme « virtuel », souvent convoqué lorsqu'on parle du numérique.