Les pseudonymes sont-ils « un masque que l’on met et que l’on enlève » à l’envi, offrant une liberté qui « nous révèle à nous-mêmes » ?
Au début, c’est un nom sans histoire, que l’on crée sur les réseaux sociaux. Ils sont seulement quelques-uns à vous suivre, puis des centaines, puis des milliers, puis des dizaines de milliers, puis… À partir de 50 000 abonnés, vous devenez un concept, que l’on peut insulter en fonction de nos humeurs. Un tweet et vous recevez une rafale de notifications. Tant, que vous êtes obligé de les désactiver, votre téléphone n’en supporte plus le poids. Vous êtes le héros du jeu vidéo, celui qui est sur la scène, et c’est comme une drogue dont vous voulez reprendre une dose quotidiennement. Quel est l’impact de ces pseudos ? Ont-ils une influence sur les identités hors réseaux de ceux qui, dans l’ombre, les alimentent ?
Métamorphoses est le premier épisode de Double vie, une série en cinq actes, sur ce que l’on dit et ce que l’on cache de nous sur les réseaux sociaux.
Intervenants
1 / William / M’sieur le prof
2/ @_Dieuoff
3/ @Klaire
4/ @CecileDuflot
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Crédits
Une série d’Elodie Font, réalisée par Charlène Nouyoux, mixée par Laurent Thomas.
Production : Amandine Collinet / INA.
Chargés de production : Aliénor Patoux et Thierry Ippolito / INA.
Diffusion : Arte Radio / Silvain Gire.
Ce podcast s’inscrit dans l’Atelier de l’audiovisuel public. C’est un appel à projets d’Arte France, France Télévisions, France Médias Monde, l’INA, Radio France et TV5 Monde.