La couverture médiatique des actes terroristes survenus en janvier a rapidement suscité la polémique. Les chaînes de TV et de radio ont-elles commis des erreurs ou imprudences ? Le CSA devait-il réagir comme il l’a fait ? Le débat est ouvert.
Série terminée le : 06 mars 2015
Si l’action du CSA est légitime pour tout ce qui concerne les programmes ou le conventionnement des chaînes et stations, en est-il de même pour l’information ?
Le tollé suscité par les décisions du CSA vient, une fois encore, mettre en lumière les insuffisances de l’autorégulation de l’information.
Le CSA ne pouvait pas rester sans voix après la couverture médiatique des actes terroristes. Mais sa réaction illustre tout autant son rôle de régulateur que les limites de son pouvoir.
Le CSA a pris la bonne décision en rappelant les chaînes de télévision et de radio à leurs obligations.
L’INA a exploré, dans le cadre des États généraux de l’information, le monde de l’information en 2050. Plongez dans trois scénarios possibles (parmi bien d’autres !) et accédez au rapport complet.
Le 11 février 1979, l'ayatollah Khomeini instaurait la République islamique à Téhéran. Pour de nombreux journalistes français le soulèvement populaire qui a précédé — et qui intervenait en pleine guerre froide — avait alors un parfum exaltant. Dans le récit en trois volets que nous vous proposons, des journalistes qui ont couvert ces événements (certains ont disparu depuis), reviennent sur leur compréhension de la situation et leurs façons de travailler.
Aux origines de l’empire médiatique de Vincent Bolloré, il y a une chaîne, créée ex nihilo sur la TNT : Direct 8. L’homme d’affaires breton y a testé ses intuitions, imposé ses lubies et rodé son savoir-faire.
Tout au long de la campagne de l'élection présidentielle, nous vous raconterons les coulisses des séquences marquantes dans les médias.
Nous avons suivi, une année durant, les activités d’une classe média de troisième dans un collège des Yvelines.