Après l’affaire Griveaux-Pavlenski, plaidoyer socio-historique pour la préservation de l’anonymat et du pseudonymat
La publication d’une « sextape » attribuée à Benjamin Griveaux, dont sont soupçonnés Piotr Pavlenski et Alexandra de Taddeo, a fait ressurgir le vieux débat de l’anonymat et du pseudonymat en ligne. Malgré des abus possibles, ces formes d’expression historiques doivent être sauvegardées. Nikos Smyrnaios, maître de conférences et contributeur à la revue des médias, livre un plaidoyer en faveur de l’anonymat et du pseudonymat en ligne.