L’attribution de visas aux films traitant de la sexualité est aujourd’hui illisible. Après la polémique au sujet de la suspension du visa d'exploitation de Love, une réforme du système de qualification de ces films semble donc inévitable.
La classification des œuvres cinématographiques au cinéma a pour principale mission de protéger les mineurs d’images trop violentes ou obscènes pour leur âge. Comment articuler cette protection avec la liberté d’expression ?