Maître de conférence à l’INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales), chercheur associé au CRC, Centre de recherches sur la Corée (UMR 8173 CNRS-EHESS) et membre du CEISME (Centre d’Etudes sur les Images et les Sons Médiatiques, Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3), Stéphane Thévenet est l’auteur d’une thèse de doctorat (décembre 2013) en sciences de l’information et de la communication qui porte sur les séries télévisées sud-coréennes contemporaines : Les feuilletons télévisés sentimentaux sud-coréens : histoire et analyse d’un genre télévisuel (1992-2005), réalisée sous la direction de François Jost (Université Sorbonne Nouvelle) et soutenue en décembre 2013. Une publication est en préparation (INA éditions).
Autres publications récentes dans le domaine : « Les localisations à l’étranger dans les séries contemporaines et l’affirmation internationale en Corée du Sud », in HATCHUEL Sarah & HUDELET Ariane (coord.), TV Series, Laboratoire GRIC, Université du Havre, 2012.
« Piratage en Corée du Sud : le virage répressif d’une nouvelle puissance culturelle », in MATTELART Tristan (Dir.), Piratages audiovisuels : les voies souterraines de la mondialisation culturelle, Paris, INA / DE BOECK Editions, pp. 250-265, 2011.
Puissants et très regardés, les trois groupes audiovisuels publics de Corée du Sud ont largement contribué à faire connaître la culture du pays à l’étranger. Pourtant, leur traitement de l’information est souvent critiqué, et les chaînes câblées grignotent progressivement leur audience.