Au Venezuela, le Bus TV roule contre la censure
Chaque jour, à Caracas, des journalistes grimpent dans des bus qui sillonnent la ville pour y informer directement les passagers.
L'évolution des médias du côté des publics
Attirer les journalistes, leur donner accès à des démonstrations de force réelles ou virtuelles, les semer, apparaître, disparaître... Telegram est le terrain de jeu préféré des militants d'extrême droite. Mais la partie de cache-cache pourrait bien finir par lasser.
À contre-courant de l'industrie du podcast, une communauté d'amateurs se réunit tous les ans à Rennes pour 48 heures d'écoute et de créations, en toute simplicité. La dixième édition de ce festival de passionnés valait bien un reportage.
Rémy Buisine couvre en live sur TikTok les manifestations parisiennes contre la réforme des retraites pour Brut. Depuis « nuit debout », puis les « gilets jaunes », le journaliste a renouvelé le genre, à l'aide, à chaque fois, d'une plateforme différente.
Il a une barbe blanche, des rennes, distribue des cadeaux chaque année… et n’existe pas. Lorsqu'arrive le mois de décembre, le Père Noël est pourtant dans tous les esprits, y compris ceux de nombreux journalistes. Qui doivent alors faire un choix.
« Never complain, never explain. » Elizabeth II a géré ses relations presse d’une main de fer. Retour sur les grands moments médiatiques de son règne avec Adélaïde de Clermont-Tonnerre, directrice de la rédaction de Point de Vue, magazine spécialisé dans l’actualité des familles royales.
C’est la fin pour la classe média, promotion 2021-2022. Les « portes ouvertes » du collège sont l’occasion, pour les élèves, de présenter leurs travaux et de tirer, au cours d’une dernière émission de radio, un bilan de l’année écoulée.
Par habitude ou par passion, les coffrets de séries télévisées gardent, plus souvent qu’on ne croit, une place sur les étagères et meubles TV. Leur présence physique peut apparaître rassurante face à la volatilité des catalogues numériques et permet de créer des moments ritualisés, nous explique le sociologue Quentin Gilliotte.
Avant de passer leur brevet, les troisième de la classe média se sont lancés un dernier défi : réaliser une émission de télévision. Tournage, montage, production : ils découvrent leurs nouveaux rôles.
Corps parsemés dans les rues, civils exécutés les mains liées dans le dos… Ces photos et vidéos témoignent de l’horreur de la guerre en Ukraine et ont fait le tour des journaux et des JT. Alors que ces images sont en libre diffusion sur internet et les réseaux sociaux, comment les médias français définissent-ils ce qui est montrable et ce qui ne l’est pas ?
Depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, les réseaux sociaux représentent à la fois un outil de travail et des canaux de diffusion pour les journalistes présents sur place. Parfois plus que des publications traditionnelles, les « posts » des reporters suscitent l’émotion, touchent un autre public, et archivent au quotidien les événements.
Alla vit en France depuis huit ans mais ses parents et sa sœur habitent en Russie et croient que Poutine dénazifie l’Ukraine. Ils s’informent exclusivement via les deux chaînes de télévision nationales. Malgré ce « fossé infranchissable » dû à des décennies de propagande, Alla essaie de ne pas perdre le lien, mais se sent encore plus démunie face aux récentes lois russes criminalisant les « fausses informations ».