D’une position marginalisée au début du 20e siècle, les studios Universal ont rejoint les rangs des plus grandes majors d’Hollywood. Parcours emblématique des mutations de l’usine à rêve.
Considérée comme « le lobby le plus influent de l’industrie de l’entertainment » aux États-Unis, la MPAA assure toujours de nos jours la prospérité des grands studios hollywoodiens. Une position dominante qui ne la protège pas des critiques.
Dotée d'un budget dépassant les 80 millions de dollars, la MPA se charge de la diplomatie mondiale des sept majors, dont les seules recettes en salles se montaient en 2010 à 23,3 milliards de dollars, et contribue à établir un « cinéma-monde » hollywoodien.
Se présentant comme l'antithèse irrévérencieuse de Disney, DreamWorks s'est s'imposé dans le domaine de l'animation jusqu'à devenir une nouvelle référence de la culture de masse.