L'industrie du cinéma en Inde plus vibrante que jamais
La première industrie du cinéma au monde en volume relève les défis de son gigantesque marché, réaffirmant son emprise sur le cœur des Indiens.
La première industrie du cinéma au monde en volume relève les défis de son gigantesque marché, réaffirmant son emprise sur le cœur des Indiens.
Chiffres tirés du recensement de 1961.
Barfi ! fut un des succès au box-office de l’année 2012.
Shree Pundalik a été réalisé un an plus tôt, mais n’est généralement pas considéré comme le premier film indien car il s’agit d’une pièce de théâtre filmée.
L’Inde compte 53 villes de plus d’un million d’habitants. Les catégories 1er, 2e et 3e rangs proviennent d’une classification gouvernementale.
Ce qui n’est pas contradictoire avec la notion de zone rurale car le gouvernement crée souvent des zones spécifiques à l’écart des grandes villes pour encourager l’industrialisation.
Anciennement Madras.
Des réalisateurs comme Satyajit Ray, Mrinal Sen ou plus récemment Rituparno Ghosh y ont fortement contribué.
Et ce dans la salle de cinéma même, les spectateurs étant servis à leurs sièges par des serveurs se faufilant dans la pénombre et masquant temporairement de leur ombre l’action à l’écran.
Le jour de sortie des films est le vendredi en Inde.
La faible rentabilité s’explique par le prix du ticket relativement bas, le montant des taxes sur le prix du billet et l’importance du piratage.